CyberPoète, Tu es, PIERROT





Vous trouverez sur cette page ...


Ses Poemes d'une inspiration... poétique !!!

Ses Minutes de réflexion philosique Casse-tête??? Non pas du tout!!!



Et bientôt en exclusivité sa photo !!!



Les Poèmes de PIERROT





 Petit peau haine en attendant le deuxième tour des élections.

Dis, Pierrot, raconte nous une histoire !
Pleine de propos dérisoires,
Une histoire comme on les aime,
Une histoire comme dans tes poemes!

Oh,...All right, puisque vous insistez,
Je m'en vais vous raconter,
L'histoire d'un gars qui s'est vengé en s'amusant,
D'un autre gars qui avait planté dans son cul sa brosse à dents!

C'est une bien triste histoire me direz vous,
Mais ici, on s'amuse comme des fous,
Mais, laissez moi plutôt vous conter,
L'histoire de la brosse à dents qui s'est fait planter :

Nous étions sur le bateau qui mene à Stokholm,
Ils ont profité de mon absence, j'devais acheter des 'gums,
Pour prendre une photo de la chose en question, avec mon appareil,
MA brosse à dents, plantée dans le cul d'l'anglais : quelle merveille !

Putain, quelle heureuse surprise,
Une fois la pellicule développée,
De voir sur cette fameuse prise,
La pauvre malheureuse, dans son cul plantée!!!!

C'est pourquoi, aujourd'hui,
L'heure de la vengeance ayant sonnée,
Je décidais, de me venger de lui,
Et dans ma merde, oui dans ma merde, je lui ai planté!

Putain, quelle heureuse surprise,
Une fois la pellicule développée,
De voir sur cette fameuse prise,
SA pauvre malheureuse, dans MA merde plantée!!!!!

Pierrot.


J'ai décuvé,
J'ai pissé,
J'me suis rasé,
J'ai bouffé,

J'ai éructé,
A y'est,
J'suis prêt,
Commencons les hostilités,

Et ne me dites pas que j'suis un poête né,
Ce ne sont que des participe-passés

Pierrot.


Les élections ? C'est quoi c'te connerie ?

Un mioche
- Dis Pierrot, ca veut dire quoi,
"les élections" ?

Pierrot
- Ta gueule, tais-toi,
c'est un mot à la con!

Pierrot
- Parlons plutôt des érections,

Le mioche
- Non, non, des "éLections" !

Pierrot
- 'Fais chier, regarde plutôt la télévision,
c'est moins dangereux, quoi que.....

Le mioche
- Justement, Ils parlent des élections à la télévision,
Y'a plein de vilains monsieurs!

Pierrot
- Attrape le p'tit Robert,
Mais non, pas ton frère !
J'voulais parler du dictionnaire,
Quel con ce mioche, j'plainds ton père et ta mère !

Pierrot ouvre le dictionnaire, le mioche repose son frère,.........

Pierrot
- Aaaalors, .....él',....élagage, élargissement,....
...égouttage,....érection,....
Tout de même, c'est très ressemblant!
Ah,..a y'est, j'le tiens : ELECTIONS :

Pierrot
- ELECTIONS : "Action d'élire une ou plusieurs persones par un vote."
Bon, voilà, t'es content, ca t'botte ?

Le mioche
- Non, j'comprends pas,
c'est quoi cette "Action délire" dont ils causent ?

Pierrot
- Putain, c'est exactement ca,
"Action délire", finalement, t'es moins con qu'on l'suppose!


Pierrot.


Eloge du Soleil.

Une nouvelle journée s'éveille,
Un Astre magique, m'extirpe lentement,
Des bras enchanteurs de Morphée;... doucement
Cet Astre magique : c'est le Soleil.

Les habitudes se réveillent,
Comme chaque matin, j'allume la radio,
C'est un chanteur Italien, qui chante "Ô sole mío"
Comme c'est beau, quelle merveille !

En Finlande, cette boule de feu,
Flambe, brille de plus en plus longtemps,
Nous lance ces rayons merveilleux,
Que nous recevons inlassablemtent.

Le Soleil, c'est le fruit de la vie,
Sans lui, pas d'arbres, pas de fleurs,
Toutes ces choses dont nous avons envie,
Tout ce qui fait notre bonheur.

Y'a tellement de magie qui se dégage du Soleil,
Que je préfère m'arréter là, ne plus rien dire,
Me taire, comme le Soleil,
Alors le charme s'opère, je le regarde luire.

Pierrot.

Les 5 Sens.
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C'était vendredi dernier,
Vid'da et moi causions,
Avec le plus grand intérêt,
Des filles dont nous jouissions.

"C'est toujours la même chose, me dit-il,
Une fille bien, dans les bras d'un vilain,
Ces anges méritent bien mieux,
Qu'un pt'tit con boutonneux ! "

D'aucuns diront ne jamais avoir affirmé,
Une telle chose, et pourtant réfléchissez,
Ne serait-ce qu'un instant, à cette affirmation,
Et vous verrez que vous pensez dans la mauvaise direction.

Je m'explique : "Le monde est-il réellement,
tel que nous le percevons ? ", Allez ! Tout le monde réfléchit :
Nos Sens nous renseigent sur des choses bien établies,
Tels que le Volume, le Poids, la Forme, le Mouvement.

C'est ce que Locke, philosophe ainsi nommé
Appellait Les qualités primaires de nos Sens,
Nous pouvons affirmer en un sens,
Qu'irréfutables sont ces qualités.

Et puis, il existe aussi, ce que Locke appelait,
Les qualités secondaires de nos Sens,
Le Goût, Le Son, La Couleur, L'odeur je nommerai,
Qui ne reflètent que l'effet produit par nos cinq Sens.

J'vous donne un exemple, si j'puis me permettre,
Tout le monde est d'accord pour admettre,
Qu'une orange est ronde, c'est irréfutable,
Le fait que tout le monde apprécie son goût est discutable.

Le Goût, la Couleur, ne font que refléter,
L'effet par vos Sens produit,
Une orange est ronde, elle n'est pas carrée,
Bon, vous m'avez suivi ?

Si cette charmante fille est attirée,
Par ce p'tit con boutonneux,
Pourquoi pas ? absolument rien on y peut
La vie est ainsi faite, nous ne pouvons rien changer.

Lecon à retenir : "Il est sympa Pierrot, mais tout de  même,
une fille aussi bien, avec un gars aussi affreux : quelle injustice ! "

Pierrot.




S'lut les amis.
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Bon, aujourd'hui, pas de poème.
J'en vois déjà, le visage blême,
'Faut comprendre, j'ai un rapport à fournir,
Et 3 millions de lettres à écrire.

Je tiens à rassurer, Ceux qui s'inquièteraient,
Pour la malheureuse, Dans les bras de la tondeuse.
Ce matin elle était, poussant l'engin avec fierté,
Toujours très minutieuse, Etonnamment rieuse.


Pierrot.


un bouton gros comme une Pomme.
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Y'a pas à tergiverser,
J'aime définitivement les Pommes.
Autant qu'un môme,
De bonbons, aime se gaver.
...........
Oh, et puis merde non,
Ce matin j'ai pas trop l'inspiration,
Pour écrire ce poème à la con,
'Faut dire qu'ce matin, est apparu un bouton.

Y'a des jours, comme ca, on sait pas pourquoi
Après un bonne nuit de sommeil,
La fatalité veux qu'tu t'réveilles,
Avec, sur le nez, un bouton qui t'met tout en émoi.

Alors plus rien n'a plus d'importance,
Que cet anthrax, ce pustule, gros comme....
Gros comme.....tiens!, gros comme une pomme,
Et alors toute la journée t'y penses.

Parfois, et heureusement d'ailleurs,
Les autres n'y preteront,
Jamais aucune attention,
Mais toi putain, toi, t'y penses toutes les heures.
.......
Alors, pour n'plus y penser tous les matins
A c'bouton, gros comme une Pomme d'Adam,
Gros comme un pomme de pin,
Et bien, j'mange une pomme, j'croque dedans!

Pierrot.


Un p'tit tour et puis s'en va...
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Hier, comme à l'accoutumé,
Nous étions vid'da et moi-même,
En train d'causer dur sur Mirc,
Désormais devenu accoutumance quotidienne.

Quoi qu'il en soit,
On causait tranquillement de tout et de rien,
Comme il arrive souvent bien des fois,
"Kestafé aujourd'8, kestuferas demain ?"

Vid'da m'racontait qu'il avait subit,
Le mois dernier l'émasculation,
De son p'tit zizi et très justement me dit :
"Emasculation = plus d'éjaculation!".

Parfois, quand le coeur nous en dit,
On va s'détendre sur un "channel" :
#lesbiansex qui s'appelle,
Même que vid'da, y s'est fait pleins d'amies!

Bon, j'pourrai vous en raconter des betises,
Mais, c'matin, ce n'était pas mon intention,
En fait, j'suis porteur d'un message à l'attention,
De KingAde, Qui hier après midi, nous à fait la surprise,
De passer nous voir sur Mirc, mais juste nous voir, c'est tout,
Il est resté là, sans rien dire, sans même faire un p'tit coucou.

Mais putain Ade, kestafoutu hier ?
Entre te taper la causette avec tes amis,
Et te siffler une bonne bière,
T'as choisi la bibine, Merde, c pas très gentil!

Mais putain, Ade, kestafoutu hier ?

Pierrot.

10 Jours de vacances, 10 Jours d'absence...
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Bon, les potes, demain, j'me casse.
Aujourd'hui, c'est mon dernier jour, j'vous embrasse.
M'ont accordé 10 jours de vacances,
M'ont offert 10 jours d'absence.

A dire vrai, c'est plutôt la classe,
De mes poèmes, j'en sens certains qui s'lassent,
J'ai d'moins en moins d'idées de surcroit, alors 10 jours,
C'est plutôt le pied, pourquoi pas, 10 jours que j'savoure.

En plus, ces 3 mois m'ont crevé, j'suis une vraie limasse,
Mes parents vont pas m'reconnaitre, "Mais keskis passe ?".
"J'ai juste besoin d'repos, 10 jours devraient suffire,
J'leur répondrai, 10 jours à dormir".

Mais putain, d'main faut qu'j'les ramasse
A l'aéroport, j'aime pas ca me fondre dans la masse.
M'enfin, j'vais passer 10 jours avec l'être qui m'est le plus cher,
J'veux dire, 10 jours de bonheur avec mon p'tit frère.

Bon, allez, faites pas la grimace,
J'vous laisse pas dans la melasse.
Z'avez encore notre Ô Cyber KingAde pendant ces 10 jours,
Et notre ami dégénéré Francky et Rachel son amour.......

Salut à vous tous.

Pierrot.

Photo de famille.
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        Monsieur Danto :
        C'est : Monsieur le Président.
        Trapu, pas beau,
        Il arbore fiérement,
        Une multitude de cravates diaprées
        Dementiellement longues trop souvent,
        Dans son falzar, il les rentre maladroitement
        Convaincu de tout savoir,
        Persuadé d'avoir le pouvoir,
        Bref : c'est un enfoiré.

        M'oiselle Yollande :
        C'est la championne des varices,
        Dans la bande, c'est elle qu'a la plus grande,
        Elle a tous les vices,
        Depuis l'hiver dernier,
        On la surnome la guirlande,
        Elle à une varice qui part du pied
        Et remonte jusqu'aux glandes.

        M'sieur Verdier,
        Lui, c'est le champion de l'apathie.
        Grand féru de la toxicomanie,
        Bref : Il est continuellement fumé.
        A en juger par la longueur de ses ongles,
        Y doit jouer de la guitare un peu comme mon oncle,
        A en juger par la longueur de ses vetements,
        Y doit avoir les mêmes que mon frère qu'a 13 ans.

        M'sieur Antalickator,
        Lui, J'ai jamais bien compris,
        Si il était en manque ou bien si il avait la crève.
        Y renifle plus qu'un aspirator,
        Invite le chez toi une après-midi,
        Et y te fait la poussière en moins d'deux, c'est l'rêve.
        M'enfin, heureusement qu'il était là pour nous soutenir :
        "Bonne chance pour la rédaction de vot' rapport à venir".
        Enculé, 6 jours que les résultats sont affichés,
        Et toujours aucune nouvelle de la part de c't'enfoiré.

        M'oiselle Ducasse,
        Elle, c'est la magicienne.
        File lui ton rapport et il disparait aussi sec!
        Grosse connasse,
        A cause de cette sale chienne,
        Y zont cru qu'on l'avait pas rendu à c'te bande de métèques!

        Y'en a 1, seulement 1 qui dépasse toutes ces fripouilles.
        De mes 4 années passées dans cette putain de fac,
        Il ne m'a jamais décu, il a le panache d'un énarque,
        C'est Monsieur Patouille.

Pierrot.


La remise des diplômes.
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Pour la remise des diplômes :
Si y'a à bouffer, j's'rai sûrement là.
Sinon, J's'rai au bord de l'eau, au Pyla,
Avec mon fréro, le plus grand des hommes.

Quoi qu'il en soit, j'me suis amusé,
A écrire une ode, en l'honneur de l'IUP.
L'IUP c'est trois années de mon existence,
3 années de merde quand j'y repense....

Ca commence comme ca :
Euh...avant tout, 'faut imaginer,
Que tous les gars de l'IUP sont là,
Devant moi, figés, empotés, bouche bée.

"Avant toutes choses : J'tiens à remercier Monsieur Danto, ici présent,
bien qu'absent, si si, je le vois dans ton regard connard,...je disais
donc, remercier Monsieur Danto, d'avoir eu la délicatesse de me fouttre
dans cette merde monumentale au plus profond de laquelle je patauge
abyssalement et salement. Je m'explique : Ou plutôt, je demande
explication : Un diplôme d'INGENIEUR MAITRE : à quoi sa sert ? T'as 10
secondes grand chef.............

La dessus, Yollande file un coup de coude à Danto qui se réveille aussitôt
et d'un air altier, et d'une voix monotone et monocorde de réciter
bêtement :

"Ce diplôme d'ingénieur maître vous ouvre grand les portes vers un avenir
certain. Je vous garantie qu'une fois le diplôme obtenu, vous n'aurrez
aucune difficulté à trouver un travail et qu'enfin, grâce à ce
dernier,......."

La dessus, Franckie le coupe et lance :
"Grâce à ce dernier, on sera les premiers à faire la queue devant les
agences de l'ANPE!"

Et Laurent de rétorquer :
"C'est déjà ca".

La dessus, tout le monde se fout sur la gueule, tout le monde s'enfile, la
soirée qui devait prendre des allures d'orgie se termina en "ORGY".
Putain, quelle soirée en perspective les enfants!.

Pierrot.


Ingénieur-maître au chômage.
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Bon, c'est bien beau ce putain de diplôme de merde, mais maintenant,
j'fais quoi moi ?
Ben, comme tout l'monde!
C'est donc, non sans une certaine angoisse, que je me suis rendu dans une
de ces multiples agences pour l'emploi :
J'ouvre la porte vitrée, et là, une p'tite pisseuse aguicheuse me récite
bêtement :

- "Bonjour, et bienvenue Monsieur
Dans votre nouvelle agence ANPE.
S'il vous plait, soyez respectueux,
Et comme tout le monde, faites la queue."

- "Eh!, oh!, j'ai eu dernièrement,
Mon diplome d'ingénieur-maître!"
- "Raison de plus, veuillez gentiment,
En bout de queue vous mettre."

- "Ah, be, merde, ca commence mal,
J'en étais sûr, ce diplôme sert à dalle."
La dessus, j'tombe sur un gars qui m'dit énervé :
- "Eh!, connard, tu t'crois où, et l'ticket ?"

- "Qu'est-ce qui m'veut l'acéphale énurétique ?,
Et de quel ticket y'm'cause non mais?"
- "Et l'aut', il est jamais allé chez Prisunic,
Tu prends un ticket, comme chez l'boucher."

Je décidai de respecter les règles de ce jeu,
Pour le moins barbare,
Pour me retrouver avec le numéro 102,
Que j'avais pris par hasard.

J'fais volte face et demande à l'autre enfoiré :
- "102, c'est quoi ca, le nombre de chômeurs francais ?"
Y m'dit -"Mais non, y sont 3.454.040 en France,
Et tu en fais partie!, c'est-y pas d'la chance ?".

Ce fut sur cette remarque désobligeante,
Mais néanmoins désopilante,
Que je décidai, en accord avec moi-même,
De me retirer loin de tous ces blasphèmes.

Sûr ce, bonne journée à tous.
Pierrot.


IUP.
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Bon, y'en a marre, j'crache le morceau,
Depuis hier, la coupe est pleine,
J'n'ai qu'une envie, c'est d'faire exploser ma haine,
De transformer c't'IUP de merde en lambeaux.

Mon aversion envers l'IUP dépasse l'inimaginable,
De jours en jours, leur connerie m'exaspére,
Au point de voulloir tout fouttre en l'air,
Y m'irritent, J'm'arrache de ce cloaque, c'est indubitable.

J'en ai ras le cul de ces p'tits cons présompteux,
Qui sans aucune appréhension, s'octroient,
Et, ce, non sans une certaine arrogance, tous les droits.
`Marre de c'te bande de p'tits morveux orgueilleux!

Sandro, hier, tu voullais que j'te livre des commentaires, des impressions
Et bien, tiens, en voilà, personne n'pourra me museler,
Des truc à dire, des propos acerbes, j'en ai plein à refiler,
Kestuveux , des phrases renversantes, infamantes, des récriminations ?

Mais, j'm'arrêterai là, pas question que j'cause une minute de plus de
l'IUP.
Dites, `savez comment combattre le parti de M'sieur LE PEN ?
Et bien, le mieux, c'est d'se taire, d'en causer n'en vaut pas la peine,
Alors, c'est décidé, à partir de maintenant je me tais.

Pierrot


Les arcanes de mon Dictionnaire.
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J'ai un dico,
C'est mon père qui l'a gagné.
C'est la station ESSO,
Pour "10 points + 10 Frs", ils lui ont donné.

C'est un bon dictionnaire,
Tu trouves tous les mots les plus durs,
Les mots les plus obscurs,
Grâce à lui : fini la galère.

Y'a un truc qui m'amuse cependant,
Et j'tiens à vous l'faire partager ouvertement.
J'prends une page et j'tombe sur le mot suivant :
"Infarctus".Tout le monde en connait la définition, sûrement.

Là où ca devient poilant
Et frise l'humour idiot et indécrottable
C'est lorsque tu lis le mot suivant :
Car c'est le mot "Infatigable".

Et y'en a des tas,
Des comme ca,
Par exemple, devinez le mot qui suit le n.m. "Pénis" ?
Pas trouvé ? Et bien, c'est "Pénitence" car Pénis = vice.

Putain, y'a pas à tergiverser :
Moi, j'irai plus chez ESSO par hasard,
J'irai aussi par Poitiers,
Ou par Montélimar!

Pierrot.


La machine à remonter dans l'temps.
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Dernièrement,
J'ai lu un truc amusant.
Un truc sur l'univers
Et sur la lumière.

Chacun n'ait pas sans savoir que,
La lumière voyage à une vitesse de :
300.000 kilomètres par seconde,
Ce qui est bien plus qu'un simple record du monde.

Maintenant, chacun devrait savoir que,
Notre étoile, se trouve à une distance de :
8 minutes lumières,
De notre planète Terre.

Autrement dit, la lumière de cet astre,
Met 8 minutes avant de nous atteindre,
Si le Soleil, venait un jour à s'éteindre,
8 minutes après, nous nous rendrions compte du désastre.

Maintenant, prenons Pluton.
Pluton est la planète la plus éloignée,
De notre Système solaire adoré,
Et se trouve à 5 années lumières environ.

Si, sur Pluton, je pouvais me trouver,
Ne serait-ce qu'un instant,
Avec un télescope très puissant,
Et bien, la Terre j'observerai.

Et si, par hasard, j'pouvais m'focaliser,
Avec un peu d'chance, sur notre ami Francky.
Et bien, j'verrais Francky, tel qu'il était,
Y'a d'ca 5 ans environ, lorsqu'il était tout petit.

Lorsque tu regardes l'univers, dans toute sa splendeur,
Plus tu regardes loin, et plus tu voyages dans le temps.
J'sais, y'en a à qui sa fait peur,
Pour ma part, j'trouve ca marrant.

La Vie à ses mystères,
Grâce à elle, la Science peut nous distraire.

Pierrot.


Salut...
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J'aime pas les séparations.
J'aime pas qu'on m'fasse du mal.
D'où proviennent ces étranges sensations
Qui font naître en moi comme un râle ?

J'aime pas les séparations.
J'aime pas pleurer.
D'où provient cette eau salée ,
Qui trouble ma vision ?

J'aime pas les séparations.
J'aime pas la voir s'en aller.
D'où provient cette envie précipitée,
De vouloir tout plaquer sans explications  ?

J'aime pas les séparations.
J'aime pas trembler.
D'où proviennent ces palpitations,
Qui tourmentent mon corps tout entier ?

J'aime pas les séparations.
Salut les gars......

Pierrot.


Ca y'est, j'viens d'payer mon billet d'retour.
C'est un aller simple pour Hambourg.
Putain, j'ose pas imaginer comment je s'rai.
Content oui, mais aussi bien triste de rentrer.

Y'a un truc dont j'me suis rendu compte.
Jamais ma famille n'aura été aussi présente,
Que pendant ces 5 mois où elle était absente,
Putain, c'est con, mais c'est vrai, j'en ai honte.

Parfois, 'faut attendre qu'un type crève,
Pour qu'enfin, on cause de lui,
Quand il est là, on s'en fout, on le fuit,
Puis quand il est plus là, on en rêve.

Arcachon, le Pyla me manquent terriblement,
Et pourtant, j'ai comme l'étrange impression
D'y avoir séjourné 5 mois durant,
Bien que n'ayant pas quitté une seule fois le septentrion.

Mes souvenirs sont tellement forts,
Les odeurs des pins, de la mer, du port,
Tout cela est si réel, et pourtant j'suis là,
A plus de 2700 kilomètres de là bas.

Que c'est étrange...

Pierrot.


Jeudi matin, on s'casse en Russie.
Si tout va bien, on reviendra Lundi.
J'suis bien content d'y aller là-bas,
Au pays des popofs et de la vodca.

Les seules images que j'ai de Moscou,
Ce sont celles que j'ai lu dans Spirou,
M'enfin, on s'en fout piskon va pas dans c'bourg,
Et oui, nous aussi, on s'casse à St-Petersbourg.

J'suis bien content d'y aller car,
Tous les gars que j'connais,
Tous ces lascards,
Disent que c'est bien joli mais :

Qu'entre les riches et les démunis,
Le faussé est immense, abyssal,
Entre ceux qu'ont de beaux habits,
Et ceux qu'on des habits sales.

Y'm'tarde de voir c'qui s'passe,
Y'm'tarde de voir tous ces gens,
De voir de nouveaux visages,
Y'm'tarde de voir ca, vraiment.

A Lundi, si le coeur vous en dit...
Pierrot.


J'ai un pote, y s'appelle Felly.
Y travaille au marché,
Il a un magasin rien qu'à lui,
Il vend des produits exportés.

Son box, il est joli,
Y sent bon les épices,
Loin des vieux taudis,
Et des odeurs de pisse.

Mon pote à moi,
Il est Zaïrois.
Tous les midi,
J'lui tiens compagnie.

Je lui achète le café,
Et lui, en échange,
Eh ben, y m'le fait,
Pendant c'temps, j'mange.

C'est comme ca, y'm'dit,
Qu'on fait les affaires ici!
Et moi alors, j'rigole.
Il a un accent qu'est drôle.

Dans son pays, là bas,
Ca va mal, mais lui,
Y s'en fout, pisk'il est là,
Felly, sa vie, elle s'passe ici.

Pierrot.

Hier, comme tous les midis,
J'dévorai chez mon pote Felly,
Un sandwich au jambon,
On rigolait comme des cons.

Y'avait pas matière à rigoler,
J'ai ma pompe à essence
Qu'est bouchée,
M'enfin, y'avait d'l'ambiance.

Et puis, a débarqué
Vers une heure passée,
La soeur de sa femme.
Assez surprenante la dame.

Et alors, dans le box de mon pote,
Telle une couleuvre, elle s'est faufilée,
Derrière le comptoir elle s'est retrouvée,
Elle s'est accoudée sur le montant de la porte.

Elle m'a vu, m'a salué,
Elle a de suite compris,
Que j'étais un pote à Felly,
Et puis m'a demandé :

- "Tiens, je suis bloquée là,
V'là dix balles, prends les,
Va m'achter un gâteau là-bas,
Tu veux bien, ah dis-donc, s'il te plaît ?"

Ma foi, j'étais un peu surpris, tout penaud,
J'la connais pas la dame moi,
C'est la première fois que j'la vois,
Et v'là qui 'faut q'je lui achète un gateau ?

Alors, la friandise je lui ai acheté,
Et c'est alors que j'ai compris,
Ce que Felly, m'a dit, un jour au marché :
"Les amis de mes amis sont mes amis!"

Z'en faites pas pour ma 'gnole,
Demain, on l'amène chez un ami,
C'est un aut' pote à Felly,
J'crois qu'il est Créole.

Pierrot





Les Minutes de Réflexion Philosophique





 S'lut tout l'monde!

Ce matin, j'vous propose,
Une p'tite réflexion philosophique,
J'vous l'accorde : un tantinet morose,
Mais bonne pour votre activité psychique.

Difficilement extipé,
Des bras de Morphée,
Je me suis réveillé,
Avec le nez qui coulé.

Suis-je malade?
Bon, pourquoi pas,
Après tout, hier j'étais minable,
Dans l'incapacité totale de faire un pas.

- " Bon, ta réflexion pertinente,
    Elle arrive? "
- " J'vois qu'on s'impatiente,
    J'vous la livre : "

C'est une question :

"Si nous étions toujours en bonne santé et jamais malade,
 Pourrions nous jouir du bonheur d'être en bonne santé ?"

P'tite explication,
Pour vous aider dans votre réflexion :

Aujourd'hui, certes, j'suis malade,
Mais demain, j'espère, ca ira mieux,
Je me dirai : "Quelle chance de se sentir mieux!,
J'vais aller faire une ballade!"

Pierrot.











Adéyêmi Ambroise Namphus Bio WOROU (Copyright 1997)